A peine quelques heures après sa seconde investiture, le 20 janvier dernier, à la présidence des Etats-Unis, Donald Trump s’est empressé d’acter la décision de retirer son pays de l’accord mondial portant sur l’introduction d’une taxation minimale de 15% sur les bénéfices des multinationales.
Les entreprises multinationales continuent de déclarer des bénéfices faiblement imposés, même dans les juridictions où les taux de l’impôt sur les sociétés sont élevés, ce qui souligne la nécessité d’une réforme fiscale à l’échelle mondiale.