«On peut alors affirmer qu’examiner l’œuvre de Merzak Allouache, dans son ensemble et en continuité, permet de mieux comprendre l’Algérie (…)», tranche Nabil Boudraa, auteur d’un essai sur la production du réalisateur algérois.
Hamida Aït El Hadj, dramaturge et formatrice de comédiens à l’ISMAS, s’est illustrée à la faveur de la 4e édition du Festival du film arabe de Casablanca en décrochant le prix d’interprétation féminine pour «la puissance de son jeu», selon le jury, dans El aïla, le dernier long métrage de Merzak Allouache.