L a courbe des prix du pétrole continuait hier sa progression, lors de la séance de clôture de la semaine qui a connu la plus forte hausse en une décennie dans le sillage de la crise ukrainienne.
Déjà lourdement affectés par des récoltes réduites en raison des perturbations climatiques et par une forte demande en Chine et au Moyen-Orient, les prix du blé subissent de plein fouet les conséquences de la crise actuelle entre la Russie et l’Ukraine.
Cédé à un privé pour un montant de 17 milliards de centimes, le marché de voitures de la commune de Tidjellabine a connu une activité en dents de scie au gré des confinements et des fermetures pour cause de pandémie. Il a finalement été repris par l’APC après le gel de l’activité du concessionnaire depuis l’été dernier.
L’anarchie est de retour dans plusieurs communes de la capitale, en raison d’un relâchement manifeste de la part des pouvoirs publics. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la pandémie de Coronavirus n’a pas empêché le retour du commerce informel.
Le wali d’Alger, Ahmed Maabed, a présidé, lundi au siège de la wilaya, une réunion pour l’examen d’un projet d’affectation d’espaces au niveau des structures relevant des collectivités locales pour la réalisation des marchés de la Rahma en prévision du mois sacré (Ramadhan).
«Le marché pétrolier continue d’être très réactif aux développements sur le front de la pandémie – nous ne sommes encore sortis d’affaires –, mais nous sommes proches des niveaux de demande mondiale d’avant la pandémie», déclare à Reuters, John Kilduff, analyste associé chez Again Capital Management.
Un automobiliste sexagénaire originaire de Médéa, venu vendre sa vieille voiture au souk hebdomadaire de Mesra, a eu la mauvaise surprise, vendredi dernier, de voir son véhicule totalement calciné. Cela dit, les citoyens sur place ont fait preuve d’un immense élan de solidarité en parvenant à lui récolter un montant de plus 170 millions de centimes, ce qui lui a permis de s’acheter tout de suite une nouvelle voiture !