La criminalité connaît une courbe ascendante dans plusieurs localités de la wilaya de Boumerdès.
Le patrimoine culturel de la wilaya de Bouira est à l’abandon. Si les promesses d’une relance culturelle se sont multipliées au fil des années, la réalité sur le terrain est bien différente. Les salles de cinéma, les théâtres et même les nouvelles infrastructures censées renforcer le dynamisme artistique et culturel de la région sombrent dans une indifférence qui inquiète.
Les habitants du village Draâ Sachem, dans la commune de Draâ El Mizan, à une quarantaine de kilomètres au sud-est de Tizi Ouzou, ont manifesté, hier, devant le siège de la daïra. Ils ont ainsi tenu un sit-in de protestation devant cette institution afin d’exprimer leur colère face «au mutisme réservé par les responsables concernés à leurs doléances portant, entre autres, sur l’amélioration sur de la route qui est dans un état de dégradation avancée».
L’association des parents d’élèves du CEM Djellidi Mohamed de la commune de Chorfa, à l’est de Bouira, a organisé, vendredi, une sortie pédagogique au profit de 150 élèves de l’établissement.
Située sur les hauteurs de Beni Amrane, Souiga est un véritable carrefour où se rejoignent des habitants de 17 villages. Son emplacement entre cinq communes, dont Tidjellabine, Thénia, Kaddara, Ammal, est un atout qui semble négligé dans l’élaboration des politiques de développement, estiment certains habitants. «Notre région mérite d’être érigée au rang de commune.
L’Agence accompagne les demandeurs de crédits jusqu’à l’aboutissement de leurs projets.
L’université Akli Mohand Oulhadj de Bouira a abrité, hier, la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, visant à promouvoir l’esprit d’entreprise et d’innovation.
La commune de Bouira connaît des difficultés en matière de gestion des déchets, ce qui engendre des désagréments notables pour ses résidants.
La production d’huile d’olive dans la wilaya de Tizi Ouzou devrait connaître une baisse relative durant la saison actuelle comparée aux résultats obtenus l’année dernière.
Cette unité peut produire 92 millions de litres de lait par an, ce qui permettra de couvrir les besoins des populations locales en cet aliment de base.
Le service de psychiatrie et addictologie du centre hospitalo-universitaire Nedir Mohamed de Tizi Ouzou est paralysé depuis quatre semaines suite à une grève enclenchée par le personnel soignant exerçant au sein de cette structure.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, les services de la sûreté de la wilaya de Bouira ont traité 526 affaires impliquant un total de 582 personnes suspectées d’actes illégaux durant le mois d’octobre dernier.
Le centre d’enfouissement technique (CET) de Corso génère des odeurs désagréables, impactant durement la vie des habitants des localités environnantes. «Il nous arrive de ne pas dormir la nuit à cause des puanteurs qui se dégagent de ce centre.
La direction des services agricoles table sur un rendement de 18 litres par quintal cette saison, contre 6 à 7 litres par quintal la campagne précédente.
La direction de distribution de Bouira (DDB) a lancé, la semaine écoulée, une campagne de sensibilisation sur les risques liés à la mauvaise utilisation du gaz naturel.
Le Parc national du Djurdjura (PND) prévoit de lancer prochainement un projet de potager au niveau de la station climatique de Tikjda.
Distribués en juillet 2023, les 588 logements de la cité AADL de Ouled Moussa manquent du strict minimum. «L’école primaire est toujours en chantier alors qu’elle devait être réceptionnée en septembre dernier.
La direction des travaux publics (DTP) de la wilaya de Bouira a annoncé des mesures d’urgence et des projets pour l’année 2025, incluant la prise en charge de pas moins de sept points et zones de glissement de terrain localisés sur les RN15 et RN30.
Pôle économique en plein essor, la commune d’Akbou a vu son budget baisser de plus de moitié ces dernières années. «En 2017, le budget primitif était de l’ordre de 1,7 milliard de dinars.
Le transport scolaire reste problématique dans plusieurs communes rurales de la wilaya de Tizi Ouzou. A M’kira, le service est assuré en grande partie par des opérateurs privés, indique le P/AC, Kamel Khelifi. « Nous avons signé des conventions avec 20 transporteurs.