Pendant que les stars du moment montent les marches à Cannes, de petites mains à l’autre bout du monde livrent dans l’ombre une bataille contre le temps : sauvegarder pour les grands studios des kilomètres de pellicules d’originaux de chefs-d’œuvre du cinéma américain.
Le chef-d’œuvre de Christopher Nolan est un grand film à l’ancienne : casting éclatant, budget colossal, effets spéciaux faits maison et grands enjeux. Il retrace en plus de trois heures les moments-clés de la vie de Robert Oppenheimer, le physicien, qui fait entrer la planète dans l’ère nucléaire, précipite la fin de la Seconde Guerre mondiale avant de se voir assailli par le doute face à sa création devenue outil de toute puissance.
Le syndicat des comédiens américains, la Screen Actors Guild (SAG-AFTRA), s'est réjoui des nouvelles restrictions sur l'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) négociées avec les grands studios d'Hollywood à la suite d'une grève historique.
Les acteurs grévistes et les patrons des studios d’Hollywood ont interrompu leurs négociations mercredi, ont annoncé les deux camps, compromettant les espoirs d’une reprise rapide de la production de films et de séries, après de longs mois de grève.
L'acteur américain Peter Sarsgaard, récemment couronné meilleur interprète masculin à Venise pour son rôle dans "Memory", a évoqué les dangers d'une utilisation inappropriée de l'intelligence artificielle lors de son discours de remise de prix.
S'inspirant d'une astucieuse stratégie marketing mise en place par Sony et Nissan en 2008, ce sont les géants japonais qui ont donné l'idée au deuxième plus ancien musée du Japon de recourir au financement participatif.
Le syndicat représentant 160.000 acteurs a accepté vendredi in extremis de prolonger les négociations avec les studios hollywoodiens jusqu'au 12 juillet, évitant ainsi pour l'instant une grève.
Interrogé à Cannes sur le mouvement paralysant actuellement Hollywood, la star américaine juge «indécente» l'absence de considération des grands studios hollywoodiens envers les scénaristes en grève.
Le géant américain du streaming, qui s’impose au fil des années comme un acteur majeur du cinéma entre succès populaires («Don’t look up», 2021) et d’auteur («Roma», 2018 ; «The Power of the Dog», 2021), sort le grand jeu à coup de grands noms hollywoodiens, à la réalisation comme à l’interprétation : Jessica Chastain, Judd Apatow, Guillermo del Toro, Ryan Gosling, Daniel Craig... avec pour point culminant The Gray Man, première superproduction de la plateforme, a annoncé à Paris la direction de Netflix France, lors d’une conférence de presse.