Le président russe, Vladimir Poutine, a signé hier, au millième jour de son offensive contre l’Ukraine, le décret élargissant les possibilités de recours à l’arme nucléaire, juste après que les Etats-Unis ont autorisé Kiev à frapper le sol russe avec leurs missiles à longue portée, rapporte l’AFP.
Le président russe avait prévenu fin septembre que son pays pourrait désormais utiliser l’arme nucléaire en cas de «lancement massif» d’attaques aériennes contre la Russie.
Le président élu aurait aussi rappelé à Vladimir Poutine l’ampleur de la présence militaire américaine en Europe, selon le Washington Post. Le Kremlin a qualifié ces informations de «pure invention».
Pour comprendre le contexte historique et les difficultés qu’éprouve la Russie dans la guerre en Ukraine, il faut remonter aux archives de la Seconde Guerre mondiale qui montrent l’implication des grands de la finance et de l’industrie, essentiellement anglo-américains, pour faire jouer à certains Etats ou idéologies le rôle de l’idiot utile ou de l’ennemi utile aux fins de servir leurs intérêts.
Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a effectué une visite surprise à Kiev lundi afin de rassurer l'Ukraine quant à la continuité du soutien américain face à l'invasion russe.
La guerre en Ukraine continue de causer des pertes humaines considérables et d’endommager l’économie mondiale (dont celles des pays en conflit). Cette guerre, qui dure maintenant depuis février 2022 (et risque de s’enliser) a perturbé la reprise économique mondiale post-Covid 19 et déclenché un double choc énergétique et alimentaire ainsi qu’une crise du coût de la vie. Bien que d’autres chocs aient secoué l’économie mondiale, cet article va se focaliser sur les impacts macroéconomiques de la guerre en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a donné samedi aux dirigeants africains désireux de jouer les médiateurs pour le conflit en Ukraine une liste de raisons pour lesquelles leurs propositions étaient selon lui malavisées, jetant une ombre sur une démarche déjà accueillie avec scepticisme par Kyiv.
L’Otan va mener la semaine prochaine son plus vaste exercice de manœuvres aériennes, coordonné par l’Allemagne, ont annoncé hier des responsables américains et allemands, cités par l’AFP.