Le 3e round des journées d’étude consacrées au professionnalisme en Algérie s’est tenu jeudi au siège du Conseil national économique et social (CNES). L’évaluation du professionnalisme, après plus d’une décade après son instauration, a fait l’objet d’un riche débat autour de ce sujet qui ne laisse personne indifférent. Beaucoup estiment qu’il est temps d’approfondir le débat sur le sujet.
Le professionnalisme en Algérie divise. Les avis sont partagés sur les bienfaits et les aspects négatifs engendrés par le choix de l’option décidée en 2010, l’an un du professionnalisme. 13 ans plus tard, aucun bilan sérieux n’a été établi. Faut-il poursuivre sur cette voie pour observer une halte et faire l’état des lieux ?
Le professionnalisme en Algérie, plus de 10 ans après son instauration, était en débat hier au conseil national économique et social (CNES) à l’occasion d’une rencontre regroupant plusieurs invités autour de Mokhtar Boudina qui a fait une brillante intervention sur un sujet d’actualité.
Ex-vice-président et membre fondateur du Conseil national économique et social d’Algérie (CNES), Mustapha Mekideche est licencié en mathématiques de l’Université d’Alger et docteur en économie de l’Université de Grenoble 2. Dans cet entretien, il dissèque la nouvelle donne économique mondiale née du conflit russo-ukrainien et ses retombées sur l’économie algérienne.
Un vibrant hommage a été rendu à M. S. Mentouri, l’ex-président du CNES, dernièrement, par les nouveaux responsables de cette institution de l’Etat.