Les années passent et le cadre de vie à la troisième tranche de la cité Boussouf, dans la ville de Constantine, ne cesse de se dégrader d’une manière déplorable. Les habitants cultivent le sentiment de vivre dans un ghetto loin du brouhaha et des lumières du boulevard principal.
Dans une démarche visant à intensifier la lutte contre le crime organisé, un tout nouveau service régional a été inauguré à la cité Boussouf de Constantine, couvrant ainsi la région est du pays.
Le cadre de vie se dégrade d’une manière inacceptable à la troisième tranche de la cité Boussouf. Les habitants de cette partie de la ville de Constantine, située non loin de la RN5, n’ont cessé de crier leur ras-le-bol après les multiples appels lancés en direction des autorités à travers la presse et sur les réseaux sociaux.
Les riverains soutiennent qu’ils subissent toutes sortes de nuisances, notamment la nuit, car ces locaux sont ouverts jusqu’à 2h du matin.
Les habitants de la troisième tranche de la cité Boussouf, située dans la banlieue ouest, non loin de la RN5, à 5 km de la ville de Constantine, ne cessent de crier leur ras-le-bol, en raison de la dégradation déplorable de leur cadre de vie.
L’affaire ne cesse d’alimenter les discussions à la cité Boussouf (Constantine), où les services du 7e arrondissement de la sûreté viennent d’arrêter six mineurs, âgés entre 14 et 16 ans, élèves dans un même CEM, impliqués dans le vol de caméras de guidage de voitures de marque Renault Clio 4.
A la rue Abderrahmene Bouderbala (ex-rue Petit), les scènes des files d’attente devant la station des taxis en direction de la cité Boussouf (Constantine) sont devenues une partie du quotidien dans cette partie de la ville.
Des passagers d’un bus assurant la ligne Djebel Ouahch – Boussouf ont assisté à la scène en direct. Hier à 9h35, une patrouille de la police ayant abordé le bus juste à l’arrêt situé à l’entrée de la cité Boussouf, avant de procéder à l’arrestation sur place du conducteur et du receveur, selon des témoins oculaires.
A l’image des autres régions du pays, la wilaya de Constantine ne fait pas l’exception en matière de trafic du foncier, causant d’importants préjudicies. Il suffit juste de ne pas exploiter un terrain public ou privé, pour qu’il soit squatté et défiguré par des constructions qui poussent comme des champignons. `