l Les forces d’occupation sionistes poursuivaient le bombardement de l’hôpital Kamal Adwan dans la ville de Beit Lahia, au nord de la bande de Ghaza, au milieu d’appels à sauver les patients et le personnel médical, a rapporté l’agence palestinienne de presse Wafa, citant des sources médicales.
Après avoir pris le contrôle de la zone tampon à la lisière de la partie du plateau du Golan occupé, en «violation» de l’accord de désengagement de 1974, selon l’ONU, Israël a mené des attaques massives contre les installations militaires syriennes.
Alors que la population civile qui survit aux bombardements souffre de la famine, l’armée d’occupation israélienne a mitraillé, hier matin, un convoi humanitaire acheminé par l’Unrwa (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine) sur une route qu’elle a elle-même préalablement arrêtée.
L’armée israélienne a perpétré, hier, un nouveau massacre dans le camp de Jabaliya, le plus important camp de réfugiés de la Bande de Ghaza, faisant au moins 80 morts dans deux frappes distinctes, selon le mouvement Hamas. La première frappe a fait au moins 50 morts «à l’aube, sur l’école Al Fakhoura», où étaient installés des déplacés, a indiqué un responsable du mouvement palestinien.
Le flop de l’hôpital Al Shifa de Ghaza nous rappelle, à tous points de vue, le délire du général américain Colin Powell qui – en 2003, pour duper l’opinion publique mondiale et justifier l’intervention massive américaine en Irak – avait exhibé une fiole devant les membres du Conseil de sécurité.
Au moins 500 Palestiniens sont tombés en martyrs dans une frappe israélienne ayant touché l’enceinte d’un hôpital de la ville de Ghaza, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Une étude publiée hier a enjoint les Pays-Bas à s’excuser pour une frappe aérienne en 2015 sur la ville irakienne de Hawija qui a tué 85 civils, et souligné que ne pas le faire pourrait favoriser l’émergence de futurs groupes terroristes.
L'opération militaire russe déclenchée dans la nuit de mercredi à Jeudi a provoqué de vives réactions de condamnation dans plusieurs capitales occidentales.
C'est durant la nuit de mercredi 23 à jeudi 24 février que le président russe Vladimir Poutine a annoncé le début de l’attaque militaire contre l'Ukraine.