Le trafic de cuivre devient un véritable fléau qui se propage dans les différentes wilayas du pays et ne cesse de prendre de l’ampleur.
Le drame qui a endeuillé, le 1er février dernier, la ville de Aïn Oulmène (chef-lieu de daïra situé à 30 km au sud de Sétif), où deux familles ont perdu 8 êtres chers (deux femmes et six enfants âgés de 4 à 16 ans), vient de faire l’objet d’un premier verdict.
L’enquête des services de la sûreté a révélé que l’exploitant des lieux utilisait un hangar pour le stockage de produits cosmétiques, et un autre comme atelier clandestin de fabrication de la vaseline.
Le procureur de la République près le tribunal d’Ain Oulmène (Sud de Sétif), Amine Limane, a indiqué mardi 8 février que trois (3) personnes ont été placées en détention préventive dans l’affaire de l’explosion suivie d’un grand incendie survenue à Ain Oulmène le 1er février dernier faisant 8 morts et 15 blessés.
Une explosion suivie d’un incendie survenu mardi après-midi dans un entrepôt de produits cosmétiques à la cité 583 lots dans la commune d’Ain Oulmène (Sud de Sétif) a causé la mort de huit (8 personnes affectées par de graves brûlures et la fumée, apprend-on auprès de la protection civile.
Une explosion survenue dans un atelier de fabrication de cosmétiques dans la commune de Aïn Oulmene (wilaya de Sétif), a fait 7 morts et plusieurs blessés, selon un bilan communiqué hier en fin de journée.