Nous estimons nécessaire à travers cette modeste contribution s’inscrivant dans cet esprit plaidant une nouvelle économie en vue de sortir d’un mode de gestion et de gouvernance qui avait produit une économie administrée engendrant aujourd’hui, plus de charges ou de dépenses, plus d’inflation, de dévaluation de notre monnaie nationale, de pénurie de liquidités, et enfin, le poids important de l’informel est toujours présent avec environ 60% du marché de la consommation et près de 45% de la masse monétaire dans le commerce informel que de production et productivité et notre secteur économique souffre de sérieux problèmes de gouvernance et de management.
Dans de telles conditions, comment ne pas s’interroger sur la reconnaissance des compétences de nos journalistes diplômés tant sur notre sol qu’à l’international ? Nos journalistes essayent tant bien que mal d’honorer leur rôle de trait d’union entre la société, les autorités nationales et locale.