La 11e édition du North Africa Energy and Hydrogen Exhibition and Conference s’est achevée avec la promesse tenue d’avoir réuni les principaux architectes de l’avenir énergétique de demain.
Entre le renouvelable et le non-conventionnel, l’Algérie choisit les deux. Les travaux de la 11e édition du Napec se sont poursuivis hier, au Centre des conventions d’Oran, avec de riches débats autour de l’utilisation des énergies propres dans le développement des industries gazière et pétrolière et dans la production d’électricité.
La 11e édition du North Africa Energy & Hydrogen Exhibition and Conferences (Napec) a ouvert ses portes, hier, au niveau du Centre des conventions d’Oran, avec pour orientation principale d’introduire plus de renouvelables et de sources énergétiques conventionnelles dans le mix énergétique en Algérie, tout en misant sur la technologie pour une exploitation beaucoup moins polluante de l’énergie fossile.
Pas moins de 500 participants comptent parmi les hôtes de la 11e édition du Napec, dont une vingtaine d’entreprises américaines. L’on pourrait citer la présence très remarquée du géant américain ExxonMobil à cette édition, qui marque un nouvel intérêt certain de la compagnie pour le marché algérien.