ES Sétif : Le mercato hivernal, la farce de trop…

31/01/2022 mis à jour: 03:57
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Mission accomplie par les Sétifiens face à l’USB

L’entame de la phase des poules de la Ligue des champions (LDC) avance à grandes enjambées. Pour le compte de la première journée fixée pour le 11 février, l’Aigle noir fera à l’occasion un tour à Conakry (Guinée) où il croisera le fer avec le Horaya, une vieille connaissance du Mouloudia d’Alger.

 Pour bien rivaliser avec ses adversaires, Nabil Kouki connaissant les forces et les innombrables manques de son effectif, demande le renforcement de la ligne d’attaque ayant besoin de véritables renards des surfaces. 

A l’issue de la rencontre ESS - USB, pliée en première mi-temps, le technicien, tunisien a réitéré sa demande - diffusée sur la page officielle de l’Entente. Pour la consommation, un des «recruteurs» du club interdit de recrutement puisqu’il n’a pas encore réglé la facture des 3,5 milliards de centimes, l’équivalent d’une portion des impayés d’anciens salariés lesquels ont obtenu gain de cause auprès de la commission des litiges, fait comme si de rien n’était. Il trouve le moyen de parler du recrutement d’un Malien et d’un Algérien évoluant actuellement en Tunisie.

 La sentence de la commission des litiges est tout simplement ignorée. S’étalant du 1er au 31 janvier courant, la date d’obtention de nouvelles licences africaines expire aujourd’hui à 0 heure. Point de nouvelles grosses pointures pour l’attaque sétifienne, n’ayant inscrit en 16 sorties que 17 buts (1,06 réalisation par match) dont quatre à l’extérieur où elle n’a pas inscrit le moindre but en cinq sorties. C’est trop maigre, diriez-vous, pour une formation courant plusieurs lièvres à la fois. La énième «volte-face» de ses employeurs n’ayant d’employeurs que le nom, oblige ainsi Nabil Kouki à composer avec un effectif éprouvant toutes les peines du monde à s’imposer en championnat national… 

FELLAHI, UN AUTRE JEUNE EN PARTANCE

Inscrit aux abonnés absents depuis la rencontre ESS - RCA (14e journée) où il n’a bénéficié que de treize minutes de jeu, Fellahi, un jeune pétri de qualités, n’a pas accepté le rôle d’intermittent, n’ayant joué que 69 minutes en seize matches. C’est insignifiant pour un jeune dont la marge de progression est immense. Ne voyant pas le bout du tunnel, le jeune ayant besoin d’un temps pour s’affirmer, gagner des galons et aspirer à mieux, c’est-à dire emboîter le pas à ses anciens partenaires, Bousouf et Amourra, demande sa libération. 

Selon certaines indiscrétions, une formation qatarie serait aux trousses de la pépite sétifienne n’ayant pas encore 20 ans. Pour aller ailleurs, le joueur non rétribué depuis 14 mois, es,t nous dit-on, disposé à faire l’impasse sur son dû (1,12 milliard de centimes/ 80 millions – mois) et satisfaire les conditions de son club pas disposé à lui délivrer un bon de sortie sans une contrepartie financière de 400 millions de centimes…

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