Le ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la Ville a entamé l'élaboration des textes juridiques nécessaires pour la reconversion de la Caisse nationale du logement (CNL) en une institution financière spécialisée dans le financement des projets de logements, a affirmé, samedi 15 janvier à Alger, le ministre du secteur, Mohamed Tarek Belaribi.
L’OACI n’a collecté que 13 millions de quintaux de blé dur et tendre après la campagne 2020/2021. Ce chiffre représente moins de la moitié des capacités de stockage de l’Office, évaluées à 28 millions de quintaux.
Dans son rapport annuel 2021, la Cour des comptes (CC) a réitéré la nécessité de veiller à la maturation des projets et la planification des activités et au respect des budgets par les différents organismes et institutions publiques. «La Cour des comptes réitère ses précédentes constations concernant l’absence de maîtrise de la conception et la mise en œuvre des différents programmes d’équipement publics, laquelle a souvent été à l’origine de dépassements dans les coûts et les délais de réalisation», souligne le dit rapport.
Une superficie totale de 400 hectares, localisée dans les zones désertiques de la wilaya de Ghardaïa, a été retenue pour la réalisation de deux stations de production d’énergie solaire d’une capacité globale de 200 mégawatts, a-t-on appris jeudi de la direction de l’énergie de la wilaya.
Le professeur Khelladi Sidi Mohamed Bouchnak a été installé, jeudi dernier, au poste de président du Conseil national économique, social et environnemental (Cnese), en remplacement du professeur Rédha Tir, a indiqué le Conseil.
Le dernier rapport de la Banque mondiale (BM) sur les perspectives économiques mondiales publié ce 11 janvier prévoit un ralentissement «prononcé» jusqu’en 2023. Les pressions inflationnistes sont donc parmi les conséquences les plus redoutables de la situation actuelle.
L’évaluation du partenariat des Entreprises publiques économiques (EPE) de la filière ciment avec des entreprises étrangères a révélé, selon la Cour des comptes, un certain nombre d’insuffisances dont notamment la non-concrétisation du transfert de l’expertise et du savoir-faire étrangers en matière de management, tel que prévu dans les contrats signés entre 2005 et 2008.
«La médiation de la République a œuvré à la levée des obstacles et à la réouverture d’un nombre important d’usines pour y relancer la production et, partant, concourir à la création de la dynamique économique escomptée.»
Les prix du pétrole se maintenaient hier au-dessus de 82 dollars le baril, soutenus par une offre plus restreinte que prévu de la part de l’Opep+ dont certains pays membres souffrent d’un manque de capacités. Les pannes en Libye ont également soutenu les prix.
Pas moins de 40 tonnes de laine traitée ont été exportées vers la Turquie, a-t-on appris auprès des services de la wilaya de Saïda.
Avec des opérations d’exportation de produits agricoles marquées par l’irrégularité et la faiblesse des volumes, la contribution du secteur dans le développement des exportations hors hydrocarbures reste timide, autour d’un milliard de dollars en 2020.
Les difficultés risquent de s’accentuer avec les tendances sur le marché international, notamment en cette période de crise sanitaire et de changements climatiques.
Le Directeur général du budget au ministère des Finances a livré quelques éléments de la réforme des subventions que le gouvernement compte mettre en œuvre à l’avenir, la loi des finances 2022 ayant introduit une disposition législative en vue de mettre en place un nouveau système de subventions ciblées.
La hausse de la demande de pétrole en Asie devrait se confirmer dans les mois à venir, après avoir connu une longue période de croissance inégale depuis 2020. Dans ce contexte, l’évolution du marché pétrolier est soutenue par des prix en nette hausse, dans le sillage de la première décision prise en 2022 par l’OPEP+, dont les 23 membres ont convenu d’approuver une nouvelle augmentation des quotas de production.
Le ministre des Transports, Aissa Bekkai a appelé lundi les différentes entreprises activant dans le domaine du transport maritime et des infrastructures portuaires à consentir davantage d’efforts afin de relever les défis et de respecter l’instruction du Premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane en ce qui concerne les jours et les horaires de travail (7/7 et 24h/24), a indiqué un communiqué du ministère.
L’apport en hydrocarbures de l’offshore permettrait d’augmenter le potentiel énergétique de l’Algérie et par la même le niveau de production et d’exportation.
Avec ses 400 huileries, son parc oléicole de plus 5 millions d’oliviers et une production annuelle moyenne de 20 millions de litres d’huile d’olive, Béjaïa reste la principale place forte de l’oléiculture en Algérie. Cependant, elle risque d’être détrônée par les zones steppiques des Hauts-Plateaux, comme Djelfa où la culture de l’olivier connaît de très beaux succès. Pourtant, malgré son immense potentiel, l’oléiculture algérienne peine à tenir toutes ses promesses. L’absence d’accompagnement de la part de l’Etat des principaux acteurs de la filière et le poids de traditions dans ce secteur retardent le décollage.
L’Algérie est restée le principal fournisseur de gaz de l’Espagne en 2021, malgré la fermeture du Gazoduc Maghreb-Europe (GME) qui assurait une partie de l’approvisionnement de l’Espagne et du Portugal en gaz algérien.
L’huile d’olive est un aliment dont les bienfaits sur la santé sont innombrables. Elle contribue à la prévention des maladies cardiovasculaires, du cancer, s’utilise également en cosmétique et dans divers usages.
Appelée «Salon d’échanges d’investissements et commerciaux algéro-turc», cette manifestation a pour objectif de booster davantage le partenariat entre les deux pays en relançant les activités économiques bilatérales, et faire, de facto, la promotion de l’échange d’expérience entre l’Algérie et la Turquie.