Ali Namous. Comédien : «Culturellement, si on veut faire quelque chose, il faut habiter Alger»

21/07/2024 mis à jour: 23:33
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Jeune comédien complexe et sensible, 8 ans de théâtre et 20 pièces, il est connu pour son rôle de Zighoud Youcef dans le récent film éponyme de Mounès Khemmar, dans la série ramadan 2024 Dmou3 louliya mais moins dans Déboussolé de Youcef Mansour ou 196 mètres et encore moins dans La fille de mon quartier de Amar Si Fodil où il joue le jeune gardien de parking amoureux en secret d’une voisine, qui elle aime un autre homme. 

Théâtre, Skikda... 


Oui, à travers une association amateur, puis le théâtre régional. Puis l’ISMAS à Alger, ça n’a pas vraiment marché mais j’ai commencé à faire des casting et jouer dans des courts métrages. 

Le premier ? 

En 2015, si je me souviens bien, Les saules pleureurs de Chawki Zayed. Puis je me suis installé à Alger, tout se passe ici, culturellement, si on veut faire quelque chose, il faut habiter Alger. C’est comme ça. Ensuite 195 mètres, premier long métrage. 

Puis Zighouf  Youcef, l’aboutissement ? 

Oui bien sûr, un grand film, bon casting, une équipe sérieuse. Mais je ne vais pas m’arrêter là bien sûr, j’étudie toutes les propositions, tout en restant ouvert aux films d’auteurs. Car je lis beaucoup, et d’ailleurs,  je lisais vos chroniques, qui ont disparu d’El Watan. 

Oui, El Watan va faire des films maintenant. En tant que producteurs. 

Bonne nouvelle (rires).

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