La première semaine du mois de janvier s’annonce avec de gros dossiers liés aux groupes Amar Benamor, Metidji et Amenhyd, mais aussi celui de Sonatrach, communément appelé GNL3.
Le P-dg de Sonatrach, Toufik Hakkar, a annoncé que la société s'apprêtait à reprendre ses projets pétroliers en suspens en Libye.
Au moment où la nouvelle loi sur les hydrocarbures fait l’actualité économique algérienne, un aspect important des enjeux semble insuffisamment abordé dans les discussions : la stratégie de Sonatrach. A cet égard, Ahmed Kebaïli, spécialiste de l’industrie pétrolière et ancien expert à la Banque mondiale, nous livre ici son point de vue sur cette question critique. Il suggère en particulier que Sonatrach doit orienter sa stratégie non pas seulement sur le partenariat pour l’exploration/production nationale, mais de plus en plus vers des partenariats pour l’exploration/production à l’international.