La libération des geôles de Bachar Al Assad de dizaine de milliers de prisonniers de tous bords et de toutes tendances a provoqué des liesses de joie dimanche et hier, certes en Syrie, mais aussi un peu partout dans le monde où les réfugiés syriens sont établis.
Faute de moyens budgétaires et à cause d’une procédure désuète héritée de l’Empire britannique, la justice est souvent rendue avec d’interminables retards en Inde, au détriment des victimes.
Au moment où le Haut-Commissariat des droits de l’homme (HCDH) onusien évoquait des «rapports inquiétants» en provenance du nord de Ghaza sur des cas de «détentions massives», de «mauvais traitement» et de «disparition forcée de milliers de Palestiniens», la presse israélienne a annoncé, hier, la mort de plusieurs prisonniers, parmi les centaines montrés par l’entité sioniste en sous-vêtements, les yeux bandés et les mains ligotées. Des ONG humanitaires ont parlé «d’exécution sommaire» et appelé à «une enquête internationale» sur le sort inconnu de milliers de prisonniers.
La France vient de franchir un cap inquiétant en matière d'incarcération, en enregistrant pour la sixième fois en quelques mois un nombre record de détenus.
Le ministère de la Justice, représenté par la Direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion, en collaboration avec la Fondation allemande pour la coopération juridique internationale (IRZ), organise depuis hier à Alger, une conférence internationale sur «Le soutien au développement du système pénitentiaire algérien et la valorisation des conclusions du programme de coopération internationale entre la Direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion et l’IRZ», selon un communiqué du ministère.