l L’événement, qui a pour objectif de réunir toutes les voix qui chantent ce genre musical, en Algérie, au Maghreb et même dans le monde, demeure une des meilleures voies pour préserver ce patrimoine.
S’exprimant lors d’un point de presse qu’elle animé après avoir présidé l’ouverture officielle, à la salle Ahmed Bey (Zénith) du 11e Festival international du malouf, la ministre a indiqué que la préservation des différents genres musicaux algériens est «un devoir».
L’homme a connu une carrière d’une extrême richesse, entre malouf et musique moderne, durant laquelle il a brillé par un talent inimitable et une classe inégalable.