Les étudiants algériens sont très intéressés par l’émigration. Ils sont plus de 75% à vouloir tenter leur chance sous d’autres cieux, dans l’espoir de décrocher un «meilleur emploi» à l’issue de leur formation universitaire. C’est ce que révèle une étude réalisée par trois sociologues, en l’occurrence Zahir Hadibi, Yasmine Musette et Sonia Kherbachi.