Une lourde sanction a été infligée hier, par le tribunal correctionnel de Bir Mourad Raïs, près la cour d’Alger, à l’ancien directeur général du protocole de la présidence de la République, Mohamed Bouakkaz, après avoir été reconnu coupable d’«abus de fonction» et d’«enrichissement illicite».
Une peine maximale de 10 ans de prison ferme a été requise, mercredi dernier, contre l’ancien conseiller de la Présidence chargé du protocole, Mohamed Bouakkaz. Ce dernier avait comparu devant le tribunal de Bir Mourad Rais, près la cour d’Alger, pour «abus de fonction» et «enrichissement illicite», des faits que ses avocats ont déconstruits durant les plaidoiries, avant que l’affaire ne soit mise en délibéré sous quinzaine, c’est-à-dire pour le 23 avril.
Le président du Conseil de la nation, Salah Ghoudjil, a installé hier le groupe de travail chargé d’examiner les avant-projets de loi sur la commune et la wilaya élaborés par un comité d’experts et remis avant-hier aux partis politiques et aux parlementaires.