Oui, les grandes périodes de chaleur avec de fortes fréquences conjuguées à des pics de température sont un facteur d’aggravation connu des risques d’incendie. C’est d’ailleurs le facteur numéro 1 de risque temporel (limité à une période de l’année) en plus des risques spatiaux qui sont eux non dépendants de la saison ou d’aléas climatiques.