A Konya, dans le centre de la Turquie, la ville de Rumi, le poète et mystique soufi, l’un des derniers ateliers ne les fabrique que sur commande. Yunus Girgiç l’assure : pour rien au monde il ne vendrait un de ses sikke aux touristes, ils sont exclusivement réservés aux vrais derviches : «Je pose quelques questions de base et je vois tout de suite à qui j’ai affaire.»