Les appels se sont multipliés au lendemain de la chute de l’ex-président Bachar Al Assad, afin de préserver les preuves des crimes de l’ex-régime. Etablie en 2011, la commission d’enquête des Nations unies sur la Syrie a demandé, dimanche, à Hayat Tahrir Al Sham (HTC) et aux autres groupes armés de «faire très attention à ne pas perturber les preuves de violations et de crimes» en s’emparant des prisons, a rapporté le journal français Le Monde.
La Conférence européenne de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco) et la Plateforme latino-américaine et caribéenne de solidarité avec le peuple sahraoui (Placso) ont organisé, à partir de New York, un colloque international virtuel pour discuter des implications politiques, juridiques et humanitaires des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis par le Maroc au Sahara occidental occupé.