Concentrés sur la nécessité de poursuivre l’entité sioniste pour les crimes génocidaires commis à Ghaza, les participants à la Conférence internationale d’Alger «Justice pour la Palestine» ont achevé leurs travaux avec l’annonce d’un dépôt de plainte pas uniquement à la CPI, mais aussi au niveau de tous les tribunaux à compétence universelle. Ils ont installé un comité pour exécuter la décision et suivre les procédures. Pour certains experts, c’est une victoire, mais les plus sceptiques parlent d’utopie.
Un collectif d’avocats des barreaux d’Algérie, du Liban, de Jordanie, de Tunisie, de Mauritanie, de Libye et de Palestine a été installé pour engager «immédiatement» des plaintes auprès de la CPI (Cour pénale internationale) et des juridictions à compétence universelle, contre l’entité sioniste pour les crimes génocidaires commis en Palestine occupée.
Le ministre palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés, Riyad Al Maliki, a présenté, jeudi, à la Cour pénale internationale (CPI) des preuves des récents crimes commis par l'armée d'occupation israélienne contre la bande de Ghaza, appelant la CPI à achever d'urgence l'enquête pénale pour rendre justice aux victimes palestiniennes.
Le Parlement arménien a ratifié hier l’adhésion à la Cour pénale internationale (CPI), rapporte l’AFP. Les élus arméniens se sont exprimés en faveur de la ratification du statut de Rome, traité fondateur de la CPI, à 60 voix contre 22.
L’ANC, au pouvoir en Afrique du Sud, a demandé que le pays, critiqué depuis le début de la guerre en Ukraine pour sa proximité avec Moscou, quitte la Cour pénale internationale (CPI), a déclaré hier le président Cyril Ramaphosa, rapporte l’AFP.