Certains historiens la considèrent comme «la mère» des batailles de la glorieuse ALN. Vu son timing qui intervient 52 jours après le déclenchement de la Guerre de Libération nationale, cette épopée est inscrite en lettres d’or dans les manuscrits d’histoire. Malgré leur manque d’effectifs, les combattants de l’ALN ont donné une leçon de bravoure et d’héroïsme à l’armée coloniale.
Une autre tache noire dans l’histoire du colonialisme français en Algérie. Le 6 novembre 1959, l’armée coloniale avait commis un crime «atroce et impardonnable» resté gravé à ce jour dans la mémoire de nombreux habitants des Issers, à 25 km de Boumerdès.
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a annoncé mardi qu’un espace aux galeries du Musée national du moudjahid à Riadh El Feth avait été dédié à la commémoration des hauts faits du commando des hommes grenouilles de l’Armée de libération nationale (ALN), lequel entrera en service le 16 avril.