Une autre tache noire dans l’histoire du colonialisme français en Algérie. Le 6 novembre 1959, l’armée coloniale avait commis un crime «atroce et impardonnable» resté gravé à ce jour dans la mémoire de nombreux habitants des Issers, à 25 km de Boumerdès.
Le ministre des Moudjahidine et des Ayants droit, Laïd Rebiga, a annoncé mardi qu’un espace aux galeries du Musée national du moudjahid à Riadh El Feth avait été dédié à la commémoration des hauts faits du commando des hommes grenouilles de l’Armée de libération nationale (ALN), lequel entrera en service le 16 avril.