Au début de son premier mandat, dans une de ses interventions télévisées, le président Abdelmadjid Tebboune donnait un cap stratégique à l’Ecole algérienne.
Quand on parle d’évaluation, on pense à celle du travail des élèves. Rarement de l’évaluation du système scolaire, de ses innovations et de leur impact. Une fois n’est pas coutume, cette modeste contribution ne concernera pas l’évaluation des élèves.
Trop de nouveautés – surtout quand elles ne sont pas bien pensées– rendent flou le champ neuronal de la compréhension/assimilation. Il est difficile, voire impossible pour un système de bien digérer un excès d’innovations introduites sans anticipation.
Le phénomène est indécent moralement et toxique sur le plan pédagogique.