IRIS Algérie, l’un des opérateurs de l’industrie des téléviseurs, a procédé, le 16 décembre à Alger, au lancement de la nouvelle gamme de téléviseur Google TV.
Elle vise à répondre aux exigences des consommateurs, promettant une expérience immersive inédite, alliant technologie, design élégant et fonctionnalités intelligentes. L’objectif du fabricant est de fournir «un téléviseur pour chaque besoin». Les quatre séries sont portable TV, Wallpaper TV, Music TV et Gaming TV. «Plus qu’une simple gamme de téléviseurs, c’est une invitation à réinventer les instants de partage et de plaisir au quotidien», note un communiqué de presse.
Djamel Guidoum, directeur général adjoint de IRIS Algérie, a tenu à faire passer deux messages importants. Il a observé l’apparition du phénomène de «la chute des prix des téléviseurs de plusieurs marques d’une manière vertigineuse.
Avant, le marché algérien était régulé par excellence avec la disponibilité de produits de grande qualité ou de qualité acceptable. Aujourd’hui, nous constatons la présence de produits très médiocres qui touchent la qualité du téléviseur et même la santé des citoyens. La lumière bleue impacte la rétine et peut atteindre significativement les cellules neurologiques.
Les enfants se plaignent souvent de maux de tête à cause des rayons lumineux». Il a ajouté que «plusieurs pays africains faibles économiquement n’acceptent pas ce genre d’équipements. Malgré cette concurrence déloyale, Iris reste leader en Algérie».
Répondant à une question sur l’industrie de l’électroménager, il dira qu’à «travers l’association des fabricants des produits électroniques et d’appareils électroménagers, les opérateurs ont tenté de tirer cette filière vers le haut. Malheureusement, la succession ces dernières années de ministres de l’Industrie a quelque peu retardé son essor.
Le projet de cahier des charges a pris énormément de temps. Jeudi dernier, une réunion très fructueuse a été organisée avec le ministre de l’Industrie, qui a montré un engagement et une disponibilité assez clairs pour traiter et clore ce dossier en tant que priorité. Il a instruit les cadres de son ministère pour accompagner ce projet».
Dans ce cadre, il informe qu’une «première réunion a été tenu samedi dernier avec le SG du ministère. Un groupe de travail a été mis en place pour traiter ce dossier de nouveau. Si ce projet est traité de manière perspicace, le cahier des charges ne tardera pas et tout l’amalgame qui existe au niveau du marché va disparaître après sa mise en œuvre».