- Pouvez-vous nous donner, Monsieur le Ministre, les noms des lieux où seront érigées les nouvelles SDEM ?
Je sais qu’il y aura à Mostaganem, à Tizi Ouzou. Je vous les donnerai après (sourire). L’essentiel, c’est que le Président a décidé de lancer six projets de construction des stations de dessalement de l’eau de mer (SDEM), pour assurer à notre pays la sécurité hydrique.
- Vous avez déclaré que ces stations sont énergivores. Vous avez promis de réserver un foncier pour l’énergie solaire afin de fournir cette énergie aux SDEM. Où en est-on ?
C’est ce que nous sommes en train de faire avec l’énergie solaire qui est raccordée aux réseaux. Donc, tout ce qui vient du réseau, il y a de l’énergie solaire et de l’énergie conventionnelle. Il y avait un projet de construction d’une SDEM de 100 000 m3/jour dans la wilaya de Tipasa, à Oued-Sebt. Il avait fait l’objet de visites de l’ex-ministre de l’Energie et des Mines et de l’ex-ministre des Ressources en eau. Il avait fait l’objet de gel à l’époque.
- Est-ce qu’il y a des sous-traitants pour fabriquer des pièces pour ces SDEM ?
Cosider ne peut pas tout faire à elle seule. En effet, il y a des sous-traitant locaux, algériens. Il faut des sous-traitants pour le montage des équipements dans ces SDEM.
- Qu’en est-il de la pollution ?
Sachez qu’une étude avait été déjà faite avant leur construction. La preuve que nous avons construit une seconde SDEM mitoyenne avec la 1re. Cette question n’est pas à poser (sourire).