Comme promis par le président de la FAF, Walid Sadi, lors du lancement de la VAR en Algérie au tout début de la saison du Championnat de Ligue 1 professionnel Mobilis 2024/2025, où il s’était solennellement engagé de renforcer le parc des vans VAR additif au 1er arrivage de 4 vans, voilà, depuis quelques jours, 4 autres vans VAR et une station fixe de formation sont désormais acquis.
A première lecture, il est aisé de remarquer qu’au niveau de la FAF, rien n’est fait ou laissé au hasard. C’était subtilement étudié et savamment planifié. Ce qui conforte cette thèse et l’explique, c’est le timing de cette importante acquisition.
Car l’arrivage coïncide avec l’imminente reprise de la deuxième phase du Championnat et des prochains tours de l’épreuve populaire à partir des quarts de finale de la Coupe d’Algérie, afin de booster la performance décisionnelle de nos chevaliers du sifflet en évitant les situations conflictuelles.
Faut-il rappeler que ce dernier arrivage comportant 4 vans VAR sont de la dernière génération avec un système complet comprenant des caméras haute définition, des écrans de visualisation, des serveurs de stockage de données, des logiciels de traitement vidéo, des systèmes d’enregistrement et de lecture instantanée et d’autres équipements de dernière technologie, à même d’assurer une mise en œuvre efficace du système VAR en garantissant des performances optimales et une fiabilité maximale.
Outre cet arrivage de la plus haute performance et de grande importance avec ses (fortement attendues) positives influences, la FAF a également réceptionné une station fixe VAR, laquelle servira à la formation des arbitres et du personnel VAR. Ladite station dispose de tous les équipements nécessaires à la formation avec ses caméras, ses écrans, ses logiciels de traitement vidéo ainsi que ses systèmes de communication.
Avec cet acquis, l’initiation et la formation de nos jeunes et autres arbitres à la technologie de la VAR se feront sur-place. Du coup, plus de déplacements à l’étranger (avec l’économie de fortes dépenses en devises) pour former nos arbitres.
L’immense satisfaction du chair man de la FAF est claire et motivée avec cette avancée qualitative et de pointe technologique garantissant à l’arbitrage algérien plus de maîtrise et de justesse. Inéluctablement, côté technologique, notre arbitrage sera à la page.
C’est un bon présage. Car avec ces moyens technologiques avancés, il ne reste à nos équipes d’arbitres qu’à fournir plus d’attention, d’application, de concentration et surtout d’en faire le bon et subtil usage, afin éviter d’inutiles scandales à notre arbitrage.
Par Salim Oussaci