Un constat s’impose : les traductions d’œuvres algériennes sont rares. Il y a eu certes les traducteurs «historiques» (Marcel Bois, Said Boutadjine, Mohamed Sari, Merzak Begtach), mais ces expériences n’ont guère suscité un véritable mouvement, comparable à celui enclenché dans le monde arabe (Liban, Egypte…)