Le Centre de recherche en langue et culture amazighes (CRLCA) de l’université Abderrahmane Mira de Béjaïa a abrité, pendant deux jours les 18 et 19 octobre, un colloque sur la thématique de «Théâtre et résistances», à la faveur du 12e Festival international du théâtre de Béjaïa (FITB).
Ces dernières années, plusieurs pièces de théâtre mettent en avant le sujet de la santé mentale faisant évoluer des personnages dans des hôpitaux psychiatriques ou des hospices d’aliénés. Il n’existe encore aucune explication à cet intérêt persistant des créateurs algériens pour cette thématique. Un marqueur d’époque ?
Le débat s’est concentré sur le manque de documents et de photos sur ces deux pionnières de l’art théâtral algérien. Brahim Noual, enseignant et critique, a regretté l’inexistence d’une biographie de Yamina Ghassoul. «Il est désolant de ne commencer à s’intéresser aux artistes qu’après leur mort.