Dans sa guerre contre la spéculation qu’il a lancée depuis son accession au pouvoir, le président Tebboune a décoché quelques flèches en direction de ce qu’il a appelé «les résidus de la Issaba» (bande) qui tenteraient, «toujours, de semer l'anarchie au sein de la société à travers la spéculation délibérée sur les prix».