Le phénomène revient chaque année. A oued Sebaou, le poisson meurt par milliers chaque été, suscitant la curiosité et l’inquiétude des écologistes et des habitants de la région. Avant-hier, des images postées sur les réseaux sociaux laissaient voir une véritable tuerie.
Un débarquement record de poissons a été enregistré au mois de juin au niveau des ports de la wilaya de Mostaganem, dépassant 600 tonnes, a annoncé hier la direction de la pêche et de l'aquaculture.
Bien que le développement de la pisciculture intégrée connaît un extraordinaire engouement de la part des agriculteurs, les produits halieutiques élevés localement, pour une centaine d’entre eux, n’arrivent pas encore dans les assiettes des citoyens de Tiaret, confrontés à la cherté des produits carnés, rouges ou blancs, alors que certains, à l’exemple de Bedrani Bedrane, pionnier dans cette activité, font face à certains aléas, surmontables, d’autant que les pouvoirs publics, tant centraux que locaux, misent sur ce segment pour participer, relativement, à freiner la dépendance.
Le marché Rahma ouvert à la place Aïssat Idir du centre-ville de Skikda assure une offre de poissons, commercialisés par la chambre de wilaya de la pêche et l’aquaculture et la coopérative locale Nouvelle Algérie, à prix compétitifs accessibles aux citoyens durant le mois de Ramadhan.
Des millions de poissons morts en décomposition ont bouché une importante partie d’une rivière située dans le sud-est reculé de l’Australie touché par une forte vague de chaleur, ont expliqué vendredi les autorités locales.
Transporter des produits frais ou surgelés nécessite un maintien précis de la température pour répondre aux exigences de traçabilité et d’hygiène. Cela n’a hélas pas été le cas ces derniers jours à Mostaganem.