Autrefois, chaque commune disposait d’un espace de lecture publique et chaque quartier avait au moins une librairie et une bouquinerie. A présent, ces établissements ont troqué leur activité originelle contre un exercice qui semble épouser l’air du temps. La raison serait-elle seulement liée à la désaffection dont fait montre le jeune pour le livre ?
La plupart des citoyens, qui se présentent au siège de l’état civil de l’APC de Mohamed Belouizdad, sont systématiquement renvoyés.