Juste une autorisation administrative, c’est ce que réclament les exploitants des terres agricoles longeant le bas Sébaou pour pouvoir utiliser les eaux de l’oued dans l’irrigation. Grâce aux dernières précipitations, ce fleuve a repris timidement et momentanément son cours.
A Sidi Dris dans la commune de Bordj El Kiffan (Alger est), plusieurs centaines de maisons construites sur les berges d’un affluent hautement pollué de oued El Hamiz, subissent de plein fouet les émanations nauséabondes de ce cours d’eau.