Un membre de l’équipe de négociations iranienne a affirmé que les discussions s’étaient limitées aux sanctions et aux questions nucléaires. Des «divergences» demeurent avec les Etats-Unis, a dit de son côté le chef de la diplomatie iranienne.
L’Iran et les Etats-Unis ont tenu hier à Rome des pourparlers «indirects» sur le programme nucléaire iranien, une semaine après de premiers échanges qualifiés de «constructifs».
L’Iran et Etats-Unis ont convenu de poursuivre les pourparlers samedi prochain. «Le seul sujet des discussions sera le nucléaire et la levée des sanctions», a ajouté le porte-parole, sans préciser où se tiendront les prochaines discussions.
Des pourparlers sur le nucléaire iranien se tiendront samedi au Sultanat d’Oman. Washington évoque des discussions «directes», et Téhéran parle de pourparlers «indirects» ayant pour objectif principal la levée des sanctions américaines.
L’Iran a rejeté hier tout dialogue direct avec les Etats-Unis estimant que cela «n’aurait aucun sens», au moment où le président américain Donald Trump suggère des pourparlers sans intermédiaire et menace de bombarder le pays en cas d’échec de la diplomatie, selon l’AFP.
Les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques avec l’Iran depuis 1980. Les deux pays n’ont que des échanges indirects par le biais de l’ambassade de Suisse à Téhéran.
Le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, s'apprête à annoncer de nouveaux investissements publics et privés visant à renforcer le programme de dissuasion nucléaire du Royaume-Uni ainsi que l'industrie nucléaire civile.
Des chercheurs américains ont accompli un nouvel exploit dans le domaine de la fusion nucléaire en produisant une quantité d'énergie supérieure à celle requise pour enclencher la réaction, surpassant même les résultats d'une expérience antérieure historique.
Le gouvernement nippon mène une campagne visant à rassurer en interne comme à l'extérieur sur la non dangerosité de l'opération.
La Corée du Nord a fustigé hier l’accord conclu entre la Corée du Sud et les Etats-Unis pour renforcer la dissuasion nucléaire, affirmant qu’il ne peut conduire qu’à «un plus grave danger».
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a procédé à l’installation d’un groupe de travail multisectoriel chargé d’élaborer la feuille de route en vue d’orienter les investissements dans les techniques et applications nucléaires vers l’usage médical.
A l’heure où la guerre en Ukraine ravive les peurs liées à l’arme nucléaire, le nombre d’ogives opérationnelles dans le monde a augmenté l’an dernier, selon un nouveau rapport.
La Corée du Nord a affirmé vendredi avoir testé un drone d'attaque nucléaire sous-marin capable de déclencher un "tsunami radioactif", tout en accusant les exercices militaires américano-sud-coréens d'être à l'origine de la détérioration de la sécurité régionale.
L’Iran a exprimé ses doutes lundi quant à «la volonté» des Etats-Unis de parvenir à un accord sur son programme nucléaire, invoquant des divergences qui persistent malgré un an de discussions pour relancer le pacte conclu en 2015 entre Téhéran et six grandes puissances
Le président russe Vladimir Poutine a annoncé dimanche 27 février mettre en alerte la "force de dissuasion" de l'armée russe, qui peut comprendre une composante nucléaire, au quatrième jour de l'invasion de l'Ukraine par Moscou.
Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale iranien, Ali Chamkhani, a appelé hier à «vérifier et établir des garanties» pour permettre la conclusion d’un «bon accord» à Vienne sur le nucléaire iranien. «Vérifier et établir des garanties fait partie intégrante d’un bon accord», a-t-il déclaré hier sur Twitter.
Les négociations sur le programme nucléaire civil de l’Iran, qui entrent dans leur dernière ligne droite, n’ont pas permis jusqu’à présent d’aboutir à des engagements équilibrés entre Washington et Téhéran, a estimé hier le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale, Ali Shamkhani, cité par l’AFP.