Le commerce international, élément essentiel des politiques publiques à travers le monde, qui a permis de soutenir la croissance économique, d’extraire de la pauvreté et améliorer le niveau de vie de millions de personnes, est en phase de recul et en phase de ralentissement pour des raisons diverses, dont la plus saillante est le partage inégal des dividendes de ce dernier. Pour ce qui est de l’Algérie, son modèle de commerce extérieur est extraverti, ce qui pose des risques macroéconomiques divers et affaiblit sa contribution à la richesse du pays.
Des politiques commerciales ouvertes, stables et transparentes demeurent essentielles à la croissance économique et à la résilience, pour peu que les règles des échanges internationaux soient modernisées pour assurer un partage des gains.