L’affaire Mediapro est toujours pendante, même après la fin du premier épisode qui s’est soldée par la sortie du matériel de l’entreprise portugaise du territoire national, actée en ce début de semaine.
Des informations, non confirmées, font état d’une somme importante (8 millions d’euros) qui aurait été facturée au profit de la société Mediapro pour la couverture des Jeux méditerranéens d’Oran 2022. Des spécialistes consultés sur le sujet restent dubitatifs sur le montant évoqué.
Le groupe espagnol Mediapro, qui est au centre d’une vaste enquête en Algérie pour des raisons évidentes et faciles à deviner (elle était sur le point de signer un contrat avec la fédération algérienne de football), ne fera pas d’affaires en Algérie. Les portes du marché algérien, après celles de beaucoup de pays sur les continents africain et européen, lui sont désormais définitivement fermées.
Mediapro, le groupe chargé de l’installation de la vidéo assistance referee (VAR) que la Confédération africaine de football (CAF) impose aux fédérations africaines qui organisent des tournois et compétitions footballistiques, n’est pas près de remettre les pieds en Algérie et encore moins d’y décrocher des marchés.
Le groupe Mediapro, spécialisé dans la couverture télévisuelle des compétitions de football, a-t-il des chances de décrocher des contrats avec la Fédération algérienne de football (FAF), comme le souhaitent ardemment ses propriétaires ? Depuis le 3 juin dernier, jour de la finale retour de la Coupe de la Confédération USM Alger-Young Africans de Tanzanie.
Des Africains s’interrogent de plus en plus sur la présence de Mediapro dans les événements footballistiques sur le continent organisés sous l’égide de Mediapro. Cette société spécialisée dans la couverture télévisuelle des tournois de la Confédération africaine de football ( CAF ) à été créée en 1994 Mediapro doit ouvrir le marché à des producteurs locauxet à rapidement acquis des parts de marché dans l’événementiel du football.