Le Kremlin a jugé «important» pour le monde entier le sommet attendu mercredi 15 novembre aux États-Unis entre le président américain Joe Biden et son homologue chinois Xi Jinping, sur fond de tensions entre les deux superpuissances mondiales.
La guerre en Ukraine ressemble de plus en plus à un piège dans lequel le Kremlin s’est précipité de tomber, il y a une année. Il est pratiquement impossible aujourd’hui d’évaluer les avancées de l’armée russe sur le terrain, l’état réel des rapports de forces opérationnelles, ou pronostiquer une issue au conflit à court ou moyen terme. Sur le plan diplomatique, également, il y a quand même très peu de victoires à revendiquer côté russe.
Le Kremlin a promis hier de prendre des «contre-mesures» après l’adhésion de l’Otan à la Finlande, qualifiant l’élargissement de l’alliance occidentale d’«atteinte à la sécurité» de la Russie. «C’est une nouvelle aggravation de la situation.
Le Kremlin a insisté hier sur le paiement en roubles du gaz russe livré à l’Europe, rejetant les critiques du G7, rapporte l’AFP. «Personne ne va livrer de gaz gratuitement. C’est tout simplement impossible. Et on ne peut le payer qu’en roubles», a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dimitri Peskov.
Le Kremlin a jugé mardi 22 mars que les pourparlers en cours avec Kiev n'étaient pas assez "substantiels", le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'étant dit prêt de son côté à des "compromis" qu'il veut soumettre à un référendum.
Le Kremlin a jugé prématuré mardi 1er mars de "donner une appréciation" des pourparlers avec Kiev de la veille.