C’est avec affliction que j’ai appris, dimanche matin, le décès du moudjahid Dali Hamid, l’enfant terrible de la Casbah, qui nous a quittés après une vie pleine et entière. Ses engagements et ses convictions bien ancrés, il reste l’un des rares à avoir mené un combat aussi bien dans la guérilla urbaine qu’au cœur des rigueurs du maquis.