Le pays est déchiré depuis que le parti au pouvoir, Rêve géorgien, a déclaré sa victoire aux législatives du 26 octobre, que les partis d’opposition pro-UE ont dénoncées comme entachées d’irrégularités.
Les manifestations en Géorgie contre la loi sur les « agents de l'étranger » reflètent une préoccupation croissante quant à la restriction des libertés civiques et à l'orientation politique du pays. Cette législation, inspirée par des modèles russes controversés, suscite des inquiétudes quant à la liberté d'expression et d'association en Géorgie.
La procureur chargée de l'affaire contre Donald Trump en Géorgie a admis vendredi qu'elle entretenait une relation amoureuse avec le juriste qu'elle avait engagé pour travailler sur le dossier. Cependant, elle a catégoriquement nié tout conflit d'intérêts dans cette affaire.
La Cour constitutionnelle de Géorgie a établi que Salomé Zourabichvili, une présidente pro-occidentale, avait exercé un "pouvoir de représentation dans le domaine de la politique étrangère" sans le consentement de son gouvernement. En conséquence, elle a été reconnue coupable de "violation" de la Constitution, ouvrant ainsi la voie à une procédure de destitution.
En avril 2008, l’Alliance promet que l’Ukraine et la Géorgie «deviendront membres», mais sans offrir de plan d’adhésion. En août de la même année, Moscou inflige une défaite militaire à la Géorgie. En parallèle, Moscou et Kiev se livrent plusieurs guerres commerciales, dont celles du gaz en 2006 et 2009.