Étrange sortie du président du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina. Le chef du parti islamiste émet des «réserves» sur la généralisation de l’enseignement de l’anglais dans le supérieur. «Nous réitérons nos réserves sur la décision d’imposer l’utilisation de l’anglais comme langue d’enseignement dans les universités à partir de cette année», lance l’ancien candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre 2019, dans son allocution prononcée en fin de semaine dernière, à l’ouverture de l’université d’été des jeunes de son parti à Tipasa.