Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d’observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Durant les épisodes de fortes chaleurs, les organismes peuvent être mis à rude épreuve et entraîner des risques non négligeables pour la santé des individus, notamment les personnes atteintes de diabète. En effet, l’été peut être une période délicate pour les diabétiques, la chaleur pouvant déséquilibrer la glycémie. Pourtant, des solutions simples existent pour affronter au mieux ces fortes chaleurs estivales tant redoutées.
Comme pour les humains, les animaux domestiques comme les animaux sauvages peuvent manquer d’eau, de fraîcheur et risquent de se déshydrater en ces temps de fortes chaleurs. «Effectivement, la canicule a fortement impacté la biodiversité que ce soit la faune ou la flore», assure Mourad Ahmim, enseignant-chercheur en écologie et environnement à l’université de Béjaïa. Selon lui, les températures ressenties en ce moment sont plus fortes que les températures que peuvent supporter les animaux mais aussi les végétaux. C’est pourquoi le chercheur alerte : «La faune est en train de souffrir.