L’année 2024 ne sera pas celle de la transition énergétique, c’est en tout cas ce que dit une analyse de Standard&Poor’s. Cette dernière souligne que même si «le changement climatique reste reconnu comme un risque mondial majeur, toute accélération de la décarbonation pourrait se heurter à des défis- liés à des coûts plus élevés, des perturbations géopolitiques et des réactions négatives en matière de politique environnementale - qui détourneraient les priorités d’atténuation du changement climatique».
Entre le renouvelable et le non-conventionnel, l’Algérie choisit les deux. Les travaux de la 11e édition du Napec se sont poursuivis hier, au Centre des conventions d’Oran, avec de riches débats autour de l’utilisation des énergies propres dans le développement des industries gazière et pétrolière et dans la production d’électricité.
Seulement, 5% des plus grandes entreprises britanniques ont publié des plans de transition vers la neutralité carbone considérés comme «crédibles» selon les directives gouvernementales britanniques, estime une étude du cabinet de conseil EY publiée lundi.