Après les mises en garde de l’ONU sur le risque de famine pour les 2,4 millions de Ghazaouis, on craint désormais la survenance d’épidémies dans l’enclave palestinienne, où les raids israéliens se poursuivent sans interruption depuis le 7 octobre.
Cinq Etats parties, l’Afrique du Sud, le Bengladesh, la Bolivie, les Îles Comores et le Djibouti, ont saisi le bureau du procureur près la Cour pénale internationale (CPI), sur les crimes commis par les forces d’occupation israéliennes à Ghaza.
Les atrocités que commet l'armée israélienne dans la Bande de Ghaza depuis près d'un mois, atteignant de tels plafonds de barbarie que l'embarras atteint de plus en plus ses soutiens occidentaux.