Depuis le début de la guerre, les deux camps rivaux s’accusent mutuellement de bombarder des zones résidentielles et de s’en prendre aux civils. Le 15 avril, le chef de l’armée, le général Al Burhane et son second, le général Hamdane Daglo, patron des FSR, ont retourné leurs armes l’un contre l’autre.
Une offensive surprise orchestrée par des groupes ethniques minoritaires dans le nord de la Birmanie a paralysé deux voies cruciales menant à la Chine, principal partenaire commercial du pays, exerçant une pression considérable sur les revenus de la junte, ont souligné des analystes.
Depuis lundi soir, la capitale libyenne est le théâtre de violents affrontements entre deux groupes armés influents, ayant entraîné la mort de vingt-sept personnes et blessé une centaine d'autres, a rapporté mercredi le Centre de Médecine d'urgence (CMU).
Les combats opposent la Brigade 444 à la Force Al Radaa, qui comptent parmi les groupes les plus influents à Tripoli, où siège l’un des deux gouvernements qui se disputent le pouvoir dans un pays miné, depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, par des divisions alimentées par la prolifération de groupes armés aux allégeances mouvantes.
Des combats opposant l’armée aux paramilitaires depuis près de quatre mois au Soudan ont eu lieu hier dans différents quartiers de Khartoum et dans une région du Darfour, ont rapporté des habitants de ce pays pauvre d’Afrique de l’Est.
L’artillerie a continué de faire trembler Khartoum hier malgré les sanctions américaines contre l’armée et les paramilitaires, qui semblent préparer une escalade dans leur lutte pour le pouvoir.
Les combats se sont poursuivis hier au Soudan où la trêve, jamais respectée, a été prolongée pour tenter d’acheminer une aide humanitaire vitale pour le pays au bord de la famine, selon l’AFP.
Les combats se sont poursuivis à Khartoum hier malgré l’entrée en vigueur officielle de la trêve d’une semaine entre l’armée et les paramilitaires censée laisser passer civils et aide humanitaire au Soudan, rapporte l’AFP.
Les raids aériens et des explosions ont de nouveau frappé Khartoum hier, avant l’entrée en vigueur prévue en soirée d’un cessez-le-feu d’une semaine entre l’armée et les paramilitaires pour laisser passer civils et aide humanitaire, rapporte l’AFP.
Les combats entre l’armée régulière soudanaise et les Forces de soutien rapide (FSR, paramilitaires) sont entrés hier dans leur troisième semaine, malgré une prolongation du cessez-le-feu pour trois jours dans le pays, rapportent des médias. «On s’est réveillés une fois de plus au bruit des avions de chasse et des armes antiaériennes dans tout notre quartier», a indiqué à la presse un habitant dans le sud de Khartoum.
Les combats entre militaires et paramilitaires au Soudan, qui ont fait des centaines de morts et des milliers de blessés, sont entrés hier dans leur deuxième semaine sans qu’aucun cessez-le-feu tienne, malgré les multiples appels en ce sens de l’étranger.
Des médecins ont annoncé des coupures d’électricité dans des salles d’opération. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), «plusieurs des neuf hôpitaux de Khartoum, qui reçoivent des civils blessés, n’ont plus de sang, d’équipements de transfusion, de fluides intraveineux et d’autres matériels vitaux». Les patients, parfois des enfants et leurs proches, n’ont plus ni à boire ni à manger.
L’armée accuse les FSR d’avoir déclenché les hostilités : «Les combats» ont commencé quand les FSR ont attaqué des bases de l’armée «à Khartoum et ailleurs au Soudan», affirme le porte-parole de l’armée, le général Nabil Abdallah.
Trois miliciens ont été tués dans des combats entre deux groupes armés qui se disputaient le contrôle d’une mine riche en or en Ituri, dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), ont indiqué hier leurs mouvements respectifs, relayés par l’AFP.
Les habitants de la capitale libyenne Tripoli étaient sous le choc hier après des affrontements nocturnes entre groupes armés au milieu des civils, signe du chaos inextricable qui continue de régner en Libye.