La cour de l’hôpital Chouhada Al Aqsa, à Deir El Balah, était jonchée, hier, de corps d’innocents sans vie. Ceux des victimes civiles des raids intensifs contre deux camps de réfugiés au centre de la Bande de Ghaza qui ont fait 95 morts.
Durant toute la nuit de samedi à hier, la population de Ghaza, en Palestine occupée, a vécu l’horreur, avec d’intenses et incessantes frappes aériennes, visant des écoles de réfugiés de l’Onu, des hôpitaux surchargés et privés de moyens humains et matériels, des camps de réfugiés situés dans le sud de Ghaza et en Cisjordanie.
Une visite de donateurs a été organisée de lundi à jeudi derniers dans les camps de réfugiés sahraouis, à l’initiative conjointe du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), du Programme alimentaire mondial (PAM) et du Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef).