Le président français, Emmanuel Macron, brise le silence. Ayant laissé le train, plusieurs se-maines durant, à des acteurs de l’extrême droite ou proches de ce courant hostile à l’Algérie, dont le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, pour envenimer les rapports entre Alger et Paris, il prône désormais l’apaisement.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé, ce mercredi, d’une série de mesures de grâce présidentielle et d’apaisement, touchant au total 2471 détenus.