De nombreux pays, des responsables onusiens et des ONG ont exprimé leur profonde inquiétude face à l’offensive israélienne à Rafah où se sont réfugiés près de 1,4 million de Palestiniens…
L’agression militaire israélienne contre la bande de Ghaza a transformé l’enclave palestinienne en «enfer humanitaire», a dénoncé jeudi le secrétaire générale de l’ONU, Antonio Guterres, devant le Conseil de sécurité des Nations unies. M. Guterres a prévenu que «le Moyen-Orient est au bord du précipice», selon des propos rapportés par l’APS.
Après près de six mois d’une campagne génocidaire à Ghaza, la pression internationale sur Israël pour mettre fin aux violences commence à se faire sentir.
Conçu sur un viol et une spoliation originels, le projet sioniste d’un Etat israélien sur la terre palestinienne a été rattrapé régulièrement et logiquement par l’histoire, malgré l’impuissance éprouvée des institutions censées incarner le droit international.
Pour la première fois de son mandat et après avoir alerté sans cesse sur la situation qualifiée de «chaotique» et de «désastreuse» par les représentants des institutions humanitaires onusiennes et les ONG de défense des droits de l’homme, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a activé jeudi dernier, l’article 99 de la Charte de l’ONU.
Une première. L’ONU a rendu, hier, un hommage mondial à ses nombreux collaborateurs tués depuis le début de l’expédition meurtrière de l’armée israélienne à Ghaza. Sobre et discrète, l’initiative a consisté en l’observation d’une minute de silence «en privé», hier matin, à l’appel d’Antonio Guterres, dans tous les pays où l’Organisation dispose de représentations.
Le secrétaire général de l’ONU a mis en place un comité d’experts chargé de faire, d’ici la fin de l’année, des recommandations dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), technologie aux «possibilités incroyables» accompagnées de «risques» pour la démocratie et les droits humains.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres a «vivement» exprimé sa «préoccupation» concernant l’«enracinement» de l’état «délétère» de la situation au Sahara occidental, appelant à infléchir cet état de fait de toute urgence pour éviter toute nouvelle escalade dans la région.
Le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Brahim Ghali, s’est entretenu, hier à New York, avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans le cadre du dialogue permanent entre la partie sahraouie et le secrétariat général de l’instance onusienne.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a dénoncé, cette semaine, «l’échec» de la communauté internationale à «protéger» les civils des conflits armés, le nombre de victimes de combats et de leurs conséquences humanitaires ayant augmenté de plus de 50% entre 2021 et 2022.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a jugé hier «absolument essentiel» que la crise au Soudan ne s’étende pas au-delà de ses frontières et vienne menacer les transitions démocratiques et les processus de paix en cours dans les pays voisins, selon des propos recueillis par l’AFP. «La situation actuelle est totalement inacceptable.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé la communauté internationale à «agir» pour mettre un terme à la menace liée aux mines, à l’occasion de la Journée internationale de sensibilisation aux mines et d’assistance à la lutte anti-mines, célébrée le 4 avril de chaque année.
L’ONU a annoncé, hier, que son secrétaire général, Antonio Guterres, avait assuré au président palestinien, Mahmoud Abbas, la nécessité de préserver et de respecter le statu quo dans les lieux saints d’Al Qods.