Complètement à la merci des chauffeurs clandestins, dont l’activité, comme chacun le sait, est versatile, les habitants de Cap Falcon réclament des autorités qu’un ou deux bus leur soit alloué pour réguler peu ou prou cette situation qui les exacerbe.
Nombre de personnes, que ce soit les habitants de Aïn El Turk et celles et ceux appartenant à la société civile, réclament des autorités qu’elles enlèvent ce mur qui, une fois son implantation achevée, limitera l’accès à la mer et obstruera la superbe vue sur la Grande bleue.